Le CD de poésie « Flanbo Nan Fè Nwa » de Jean Pierre Jean Wikens est pour très bientôt

Le CD de poésie « Flanbo Nan Fè Nwa » de Jean Pierre Jean Wikens est pour très bientôt
Jean Pierre Jean Wilkens annonce la sortie prochaine de son CD de poésie

Contenu de l’album de poésie baptisé « Flanbo Nan Fè Nwa » de Jean Pierre Jean Wikens, alias Zoupenzoup( Semi-Finaliste in World Championhips of Performing Arts en 2010 dans la catégorie Acting à Los Angeles, California), un radieux chef d’œuvre poétique. Un artiste, pour ne pas dire l’artiste, ce serait exagéré, mais c’est tout comme.

L’album, Flanbo Nan Fè Nwa, un joyau des mains de Dieu tombé, axé sur les réalités humaines d’ici, et d’ailleurs. Les percer, les sonder pour en saisir l’essence, la quintessence, la substantifique moelle, c’est un prodige pour ne pas dire qu’il en est un.

Flanbo Nan Fè Nwa, l’album crépitant de dénonciations, relatant avec une dextérité angélique les dérapages, la perdition, la corruption à travers le monde, même au sein des Etats de droit. La vérité se lit ainsi: “ Tous les Etats, quels qu’ils soient, sont composés d’hommes, et de femmes, ou d’êtres humains et rien d’humain ne leur est inconnu, s’il faut se référer à la pensée de l’auteur latin Térence: “ Homo sum, nihil a me humani alienum, puto.” Une vérité poignante, cinglante, ahurissante.

Flanbo Nan Fè Nwa nous met en garde contre une supériorité factice, invoquée pour inférioriser le plus grand nombre, ou celles qui sont considérées comme le sexe faible par les hommes, comme si elles ne sont pas constituées de trois éléments: le corps, l’âme et l’esprit. La vérité nous oblige à avouer, que la contexture féminine attire, aimante au point que la femme soudoie l’homme par son joyau, qui fait ramper le mâle. Point n’est besoin de continuer à s’illusionner.

La femelle dispose d’atouts, dont les hommes sont privés. Il vaudrait mieux ne pas vouloir la dominer, car si elle sortait ses griffes de faiblesse en apparence, elle serait trop forte. Loin de l’avoir en face de nous, ayons-la pas seulement à côté de nous, mais de préférence avec nous pour constituer une seule chair selon le dessein de Celui, qui est l’Amour personnifié. Fambo Nan Fè Nwa nous exhorte à lubrifier les relations, entre hommes et femmes, mais d’une manière générale dans tous les rapports. Ceux-ci sont caractérisés par l’hostilité pour d’autres raisons: l’exploitation, la cupidité, l’égoïsme, les préjugés de toutes sortes, religieux, intellectuels, économiques, de race, de classe, de couleur, régionaux… Rien n’est négligé par Zoupenzoup, qui embrasse l’humanité dans sa totalité.




Tout est à la gloire de l’excellent rédacteur-diseur pour nous livrer une œuvre humaine dans son essence, mais spirituelle dans sa projection, car c’est la spiritualité, qui est à même d’apporter un tempérament à ces dérapages néfastes pour le genre humain. Elle sert de balise pour éviter trop de dégringolades, et nous apprend du même coup, que nous sommes des pèlerins en la machine ronde. Alors Zoupenzoup nous invite à en tenir compte et à tenter de marquer de la positivité son avancée durant la randonnée terrestre en nous référant de préférence sous le panthéon de l’union afin d’enterrer la hache de guerre au profit du rameau d’olivier.

L’auteur se singularise par sa perspicacité pour détecter les moindres replis sinueux, qui nous empêchent de collaborer… Cette option se révèle la seule planche de salut pour émousser les vicissitudes, car l’union permet de mieux supporter les calamités, issues des catastrophes naturelles et surtout des catastrophes humaines, plus dévastatrices que les premières. Dans son album, Fanbo Nan Fè Nwa, qui sera bientôt nôtre, et il nous sera permis de nous abriter sous le giron bienfaisant de l’amour en fuyant le venin aussi vieux que l’humanité, la haine, sous la tutelle bienfaisante de la charité, de l’aménité, de la bénignité et de tous ses dérivés, ensorcelants, consolants, irradiants pour s’éloigner à tout jamais de l’égoïsme, de l’égocentrisme en vue du triomphe de l’entraide fraternelle, apte à engendrer la compréhension mutuelle… L’album de Zoupenzoup, Fanbo Nan Fè Nwen, un véritable bréviaire, une référence, qui dicte les nouvelles menées pour la régénération de l’humanité en fonction du dessein divin. Chacun porte en lui la perfectibilité, dénommée la conscience. Qu’il consacre du temps pour l’écouter et surtout l’entendre… Le compositeur, prêche l’obligation de l’union en vue de la lubrification des relations humaines.

En effet ses bienfaits sont multiples: “ L’union est la solution, qui nous sortira d’embarras. L’union est une panacée, qui peut guérir tous les maux. L’union nous porte à secourir nos semblables. Elle bonifie, fortifie, éloigne de nous l’égoïsme. L’union aplanit les sentiers rocailleux, rend l’homme sociable, et l’intègre valablement dans son milieu ambiant pour lui permettre de mieux servir afin de soulager les souffreteux, les damnés de la terre.

Zoupenzoup nous apprend, que nous sous sommes tous frères. L’union nous exhorte à enterrer la hache de guerre au profit du rameau d’olivier à tendre pour la réconciliation au sein d’un même Etat et entre les Etats. Nous sommes tous embarqués à bord du même bateau. Conjuguons nos efforts pour diminuer les roulis et les tangages afin de l’ancrer à bon port à la satisfaction de tous et d’un chacun. C’est la seule recette pour boucler le Cap de Bonne Espérance. Flambo Nan Fè Nwa, inégalé et inégalable grâce à la verve flambloyante, abondante de Zoupenzoup , une performance dans l’excellence, confinant vers les sphères rutilantes de clarté.

De l’incroyable éternisé sur du papier, indestructible pour sublimer l’humanité grâce à sa perfectibilité d’adopter une nouvelle philosophie, au point que nous posons la question: “ Y aurait-il un œuvre aussi grandiose, réalisée par d’autres? Nous en doutons fort. C’est le moins qu’on puisse dire: “ Le verbe de Zoupenzoup s’est fait chair grâce à une donation divine. Zoupenzoup est un privilégié des mains de Dieu tombé. Du jamais entendu, car la pénétration dans la crudité des vilénies met à nu les travers, dotés du dénominateur commun, ou du soubassement, la faiblesse, héritée du péché adamique, ou de la tare congénital, mais il y a moyen de s’en écarter quelque peu à cause de la crucifixion, qui a fait de nous des élus qualifiés.

A nous de confirmer notre qualification en vue non pas d’une solution, mais tout au moins d’une amélioration au moyen de la compréhension mutuelle pour fuir ce qui nous désunit et embrasser ce qui nous rapproche. L’album, Flanbo Nan Fè Nwa, de Zoupenzoup, s’accroche sur les ailes du temps. Il est valable en tout lieu et en tout temps, d’où sa connotation spatio-temporelle. Jean Pierre Jean Wikens (Zoupenzoup) vient d’opérer une odyssée concrétisée Professeur-Ecrivain Grégoire François Jocelyn.


La Rédaction

La Rédaction Contact : actualites@haitinews2000.com

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