Promotion de l’agriculture urbaine et périurbaine en milieu scolaire dans la ZAC
Dans le cadre du projet de gestion urbaine des déchets dans la ZAC (zone d’aménagement concerté) de Martissant, une coopération en agriculture urbaine et périurbaine progresse dans certains établissements scolaires à Martissant depuis février 2014.
Cette initiative s’inscrit dans l’optique de sensibiliser et de responsabiliser tous les acteurs scolaires d’un établissement sur les conséquences de leurs actes, la gestion des déchets en milieu scolaire, urbain et périurbain en particulier et sur l’environnement en général : élèves, enseignants des cycles de l’école fondamentale et secondaire, directeurs et responsables de direction et
pédagogique, personnels sans fonction pédagogique et membres des comités de gestion.
Dans les écoles bénéficiaires, ce programme se développe dans une approche active et participative. Généralement, les participants étudient ensemble les différentes étapes d’une plantation, la croissance d’une plante, les cultures, les pratiques de gestion connexes, et les rapports existant entre la gestion des déchets et l’agriculture urbaine et périurbaine.
Participation et apports directs de chaque participant
Chaque acteur doit jouer son rôle pour la réussite du processus. Ainsi :
– les directeurs et responsables de direction et pédagogiques disposent et désignent des personnes pouvant aider l’équipe à la préparation des espaces. Des interactions s’ensuivent à chaque séance ou suivi ;
– les enseignants des cycles de l’école fondamentale et professeurs du secondaire sélectionnent les élèves dynamiques et servent de relais auprès de la direction de l’école. Ils manifestent de grands intérêts pour le suivi et l’expansion du programme ;
– les élèves participent, questionnent lors des séances et pratiquent tout bonnement les notions apprises, en préparant les médiums et les récipients et en réalisant l’ensemencement, l’entretien des plantes et la reproduction chez eux ;
– enfin, le personnel sans fonction pédagogique et membres des comités de gestion accompagnent l’équipe dans la préparation des plates-bandes, participent dans l’ensemencement et l’entretien des plantes.
Plus d’une quarantaine d’élèves ont déjà pris part à ces activités à différentes échelles. Par exemple au collège mixte Frère Roc, deux plates-bandes ont été réalisées ainsi que l’ensemencement de piments, de tomates, d’aubergines et de choux. L’école communautaire St Michel n’ayant pas beaucoup d’espace expérimente l’agriculture verticale. A l’institution Zéphyr Pierre Frerro, l’assemblage de caoutchoucs et de sons de bois est en cours. Enfin, au Centre d’études nouvelles Nazaréen les participants préparent déjà leur bande plate en attendant la visite de l’équipe du projet.
Les activités recommenceront à la fin de ce mois. D’autres établissements scolaires formulent déjà leurs requêtes d’intégration à la promotion de l’agriculture urbaine et périurbaine en milieu scolaire dans le cadre du projet.
En somme, si les résultats dans les écoles de Martissant sur ces pratiques sont encore très limités, certains éléments indiquent que cette initiative pourrait contribuer à l’amélioration des compétences des bénéficiaires en matière de sciences expérimentales. Elle pourrait également favoriser le développement de leur sens d’observation et des travaux pratiques à l’école, et le renforcement des acquis en gestion des déchets à l’école et dans leurs communautés respectives.
Cette initiative s’inscrit dans l’optique de sensibiliser et de responsabiliser tous les acteurs scolaires d’un établissement sur les conséquences de leurs actes, la gestion des déchets en milieu scolaire, urbain et périurbain en particulier et sur l’environnement en général : élèves, enseignants des cycles de l’école fondamentale et secondaire, directeurs et responsables de direction et pédagogique, personnels sans fonction pédagogique et membres des comités de gestion.
Dans les écoles bénéficiaires, ce programme se développe dans une approche active et participative. Généralement, les participants étudient ensemble les différentes étapes d’une plantation, la croissance d’une plante, les cultures, les pratiques de gestion connexes, et les rapports existant entre la gestion des déchets et l’agriculture urbaine et périurbaine.
Participation et apports directs de chaque participant
Chaque acteur doit jouer son rôle pour la réussite du processus. Ainsi :
– les directeurs et responsables de direction et pédagogiques disposent et désignent des personnes pouvant aider l’équipe à la préparation des espaces. Des interactions s’ensuivent à chaque séance ou suivi ;
– les enseignants des cycles de l’école fondamentale et professeurs du secondaire sélectionnent les élèves dynamiques et servent de relais auprès de la direction de l’école. Ils manifestent de grands intérêts pour le suivi et l’expansion du programme ;
– les élèves participent, questionnent lors des séances et pratiquent tout bonnement les notions apprises, en préparant les médiums et les récipients et en réalisant l’ensemencement, l’entretien des plantes et la reproduction chez eux ;
– enfin, le personnel sans fonction pédagogique et membres des comités de gestion accompagnent l’équipe dans la préparation des plates-bandes, participent dans l’ensemencement et l’entretien des plantes.
Plus d’une quarantaine d’élèves ont déjà pris part à ces activités à différentes échelles. Par exemple au collège mixte Frère Roc, deux plates-bandes ont été réalisées ainsi que l’ensemencement de piments, de tomates, d’aubergines et de choux. L’école communautaire St Michel n’ayant pas beaucoup d’espace expérimente l’agriculture verticale. A l’institution Zéphyr Pierre Frerro, l’assemblage de caoutchoucs et de sons de bois est en cours. Enfin, au Centre d’études nouvelles Nazaréen les participants préparent déjà leur bande plate en attendant la visite de l’équipe du projet.
Les activités recommenceront à la fin de ce mois. D’autres établissements scolaires formulent déjà leurs requêtes d’intégration à la promotion de l’agriculture urbaine et périurbaine en milieu scolaire dans le cadre du projet.
En somme, si les résultats dans les écoles de Martissant sur ces pratiques sont encore très limités, certains éléments indiquent que cette initiative pourrait contribuer à l’amélioration des compétences des bénéficiaires en matière de sciences expérimentales. Elle pourrait également favoriser le développement de leur sens d’observation et des travaux pratiques à l’école, et le renforcement des acquis en gestion des déchets à l’école et dans leurs communautés respectives.
La Rédaction
Contact : actualites@haitinews2000.com
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