En plus d’irrégularités, le CEP commet des fautes grammaticales

« Je me demande si le CEP n’a pas de consultants ? Si oui, pourquoi on les paye ? », c’est avec ces interrogations qu’un facebookeur connu sous son nom d’utilisateur, Lewis Austin, a posté une photo sur son mur.

L’indignation de cet internaute fait penser à la crédibilité et la compétence des conseillers électoraux pour l’organisation des législatives. On dit souvent que l’erreur est humaine. On cite cette phrase, parfois pour atténuer une situation et tenter de pardonner celui qui a commis la faute, mais à ce niveau, on pourrait parler d’incompétence.

Dans la grammaire française nous avons étudié la leçon suivante : l’adjectif qualificatif s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. « Observateur électorale ! » pour la bande à Pierre-Louis Opont, désormais le mot « Observateur » est du genre féminin. Hélas !

Si un conseil n’est pas prêt pour respecter son calendrier électoral, payer ses juges à temps, engager des experts pour le travail, serait-il prêt à organiser des joutes honnêtes, crédibles, démocratiques et inclusives ?

La Rédaction

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