L’éducation en Haïti et les droits des enfants entre l’enclume et le marteau !

L’éducation en Haïti et les droits des enfants entre l’enclume et le marteau !

« L’éducation est une arme puissante pour faire évoluer les mentalités et transcender les différences, et le sport est une source d’inspiration, de dépassement, de tolérance et d’apprentissage du respect de la jeunesse. Ces deux éléments participent à créer une société plus juste et fraternelle. » D’après Alexandre Dumas Fils.

Une approche sociologique de l’école et de l’éducation

D’un point de vue sociologique, l’école est d’abord une catégorie de l’historiographie dont la signification est imprécise s’appliquant aussi bien à un courant de pensée qu’à des différents groupes. Certains de ces groupes, identifiés comme des écoles par la communauté scientifique, ont été étudiés en tant qu’objets sociohistoriques.

Toutefois on ne peut en donner une définition idéale typique en raison de leur hétérogénéité. Le terme d’école fonctionne dès lors comme une étiquette qui permet à un groupe de faire reconnaître sa conception de la sociologie et d’exister dans l’espace scientifique. Pour Durkheim, l’école doit imposer des règles ; pour Dewey, l’école doit apprendre aux élèves l’art du débat, du compromis et de la décision. La première doit se défier du monde et l’enseignement est « gratuit » ; la seconde doit aimer le monde et l’enseignement est « utile ». En d’autre terme, l’école est un espace de socialisation. En outre, éducation a pour objectif d’étudier les processus de socialisation scolaire, les déterminants sociaux des résultats et des destins scolaires, les rapports pédagogiques, les caractéristiques des institutions et du personnel éducatif, les relations entre les diplômes et les postes.

L’école et son instabilité en Haïti

L’école, établissement dans lequel est donne un enseignent collectif général aux enfants d’âges scolaire et préscolaire.

L’école est le lieu par excellence dans la transmission du savoir, on lui revêt une importance capitale depuis la nuit des temps. Même dans les idéologies divergentes qui caractérisent les différentes pensées du monde occidental et oriental, sa protection est d’une extrême sensibilité, qu’elle est censée un fait universel.  Même dans des moments de guerre on fait en sorte de protéger les écoles, si on considère les deux plus grandes guerres que le monde a connu à savoir la première et la seconde guerre mondiale. Et, même pendant la guerre froide. Pour Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron, l’école se présente avant tout comme une instance de reproduction sociale : les inégalités sociales transformées en inégalités scolaires redeviennent ensuite des inégalités sociales à la sortie du système scolaire[1]. C’est-à-dire dans leur travail ils accordent une place prépondérante à l’héritage, et, cela se transmis grâce à l’école. Alors notre destin social en dépend.

Cependant, durant les deux dernières décennies qui découlent l’éducation en Haïti traverse des moments extrêmement difficiles, c’est-à-dire on rencontre toutes sortes de problèmes : les personnels non qualifier et compétents, les problèmes de matériels, les problèmes d’aménagements des espaces scolaires répondant aux normes établir, les problèmes de la sécurité alimentaire et physique, pour ne citer que cela. Pour cette année, 2022, la situation se complique d’avantage des tâtonnements dans la date d’ouverture des classes. Selon le communiqué du ministère Éducation Nationale de la Formation Professionnelle (MENFP) a été publié à la suite d’un Conseil de Gouvernement, le 26 août 2022, portant, entre autres, sur la rentrée scolaire, précise que, le nouveau calendrier scolaire 2022-2023, avec les nouvelles dates clés à retenir pour la nouvelle année académique, sera publié « sous peu », promettent les autorités de l’éducation.

Mais le climat de terreur entretenue, en toute impunité, par les gangs armés, sur le territoire national, la persistance de la rareté des produits pétroliers et ses conséquences sur les tarifs des transports publics ainsi que la détérioration accélérée des conditions socioéconomiques globales, de nombreux parents avaient émis des doutes pertinents sur l’éventualité d’une réouverture des classes, le 5 septembre 2022. D’après les dirigeants, ils avancent la date de la réouverture pour pouvoir améliorer le sort des parents et ils ont choisi le 3 octobre 2022.  La date en question arrive la situation s’empire encore plus, après avoir reporté la rentrée des classes au 3 octobre 2022, le Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) dit prendre en considération les appels des institutions éducatives et divers secteurs qui réclament un meilleur climat sécuritaire capable de favoriser la réouverture. Considérant toutes ces difficultés, quels sont les rôles du gouvernement ?

Par conséquent, cette année 2022 reste troublée pour les élèves, les parents, le personnel en éducation et même le MENF. Personne ne sait jusqu’à 23 octobre 2022 quand les élèves retourneront en salles de classe. Dans cette même logique est-ce que le contexte socio-économique peut justifier le problème de la réouverture des classes ? Pour éclaircir cette problématique nous allons analyser le contexte difficile que l’école a connu pendant les deux grandes guerres et pendant la COVID19, les droits des enfants et la réalité d’éducation en Haïti, enfin, quelques propositions.

L’École pendant la première et la seconde guerre mondiale

      D’après Matthieu Devigne, qui dans son ouvrage[2] parlait de l’expression de « classe de guerre »

Il a employé cette expression pour souligner que, face à tout événement historique, les contemporains partagent avec les historiens le désir de tirer des enseignements des pratiques plus ou moins improvisées mises en place pour contourner les contraintes et les vicissitudes qui bouleversent l’organisation sociétale. L’importance de l’événement est moins dans son d déroulement que dans la signification qu’il doit prendre dans les années futures. C’est-à-dire malgré les différents événements que les sociétés ont connues il faut avoir un regard spécial sur certains organes des sociétés, si nous prenons en considération, l’écoles, hôpitaux, etc.

Le quotidien de ces « classes de guerre », Selon certains auteurs qui travaillent sur cette thématique en question montrent que les situations furent très différentes en fonction de la distance où se déroulait la guerre. Sont donc principalement touchées les régions du nord et de l’est. Mais même en temps de guerre, il faut que l’école se poursuive. On avait adapté ainsi au manque de locaux, en logeant les troupes dans les locaux scolaires, suite aux bombardements. Mais il faut également faire face au manque de personnels, mobilisés pour participer dans les guerres, au manque de papier, d’encre et aux interruptions de cours régulières à cause des bombardements. Un protocole de sécurité est d’ailleurs mis en place pour éviter que les enfants soient touchés[3].

              Tout d’abord, il faut comprendre que l’École comme institution fait figure de constante vitale au sein de toutes sociétés. C’est pourquoi il demeure tout à fait exceptionnel qu’un gouvernement se résigne à la fermeture des établissements scolaires. Dès le 17 juin 1940, alors que l’armistice n’est pas encore signé, un service scolaire minimum est assuré dans chaque arrondissement et chaque commune de la banlieue parisienne par exemple. Partout où l’école a été interrompue par l’offensive allemande, les services académiques travaillent à l’ouvrir les établissements dans le courant du mois de juillet. Pour le dire avec les mots d’aujourd’hui, les services de l’Éducation nationale assument ici leur mission de service publique : il s’agit autant de « garder » les enfants en garantissant un accueil à toutes les familles, que de les « sauvegarder » en les engageant dans l’un des nombreux plans de replis successivement élaborés avant et pendant la guerre.

             Pour plusieurs français, des plans d’évacuation et de fermeture scolaire sont pris en charge par Vichy. Entre 1940 et 1944, on met en place un zonage en fonction de l’exposition plus ou moins grande des communes aux bombardements. De plus, le service de la Défense passive au ministère de l’Intérieur classait certains secteurs en fonction du risque. Dans les communes peu exposées, la vie scolaire se passait normalement, pour celles qui étaient moyennement exposées aux bombardements, les horaires de cours étaient réduits, tout comme les effectifs, puisque l’on constituait des classes de 12 élèves. Dans les zones urbaines fortement exposées, les établissements étaient tout simplement fermés. On tendait à répartir les élèves dans d’autres établissements et parfois l’école était même déplacée dans des camps scolaires. On faisait l’école en plein air dans des centres de vacances. Par ailleurs, c’est en 1939, après l’entrée en guerre, que l’État crée à la hâte un service d’enseignement à distance par correspondance et radio, aujourd’hui ça pourrais réaliser vis à l’internet pour l’enseignement secondaire. Celui-ci est conçu comme temporaire, mais le régime de Vichy reprend cette politique à son compte en la structurant.

Comme on l’a bien mentionné, il arrive un moment où on fait des écoles en plein air.  Parce que l’écoleoccupe toujours une place centrale car elle porte le souci et l’ambition du pays concerné pour sa jeunesse. Il faut bien saisir, même qu’au temps de la guerre l’école est au centre des réflexions.

L’école pendant la COVID19

La COVID19 est une maladie a coronavirus 2019, appelle COVID19. Elle est infectieuse due au virus SARS-CoV2. La majorité des personnes atteintes de la COVID19 ne ressentiront que des symptômes bénins ou modérés et guériront sans traitement particulier. Cependant, certaines tomberont gravement malades et auront besoin de soin médicaux[4]. Par rapport à la gravite de cette maladie on parle même de pandémie. Elle avait des conséquences gravement graves sur presque tout, si nous citons : l’économie mondiale, la politique sanitaire, l’environnement, l’éducation, pour ne citer que cela. Alors l’aspect éducatif nous intéresse.

                   Est-ce que l’école avait fonctionné pendant la CIVID19 ?

L’éducation durant la crise sanitaire est très compliquée, sans accès à l’électricité et le problème de connexion d’internet pour certains pays, empêche la pratique qu’on mettait à l’œuvre c’est-à-dire des cours à distance était très difficile. Dans le souci pour améliorer la situation, une fois par semaine des instituteurs se rendent dans les foyers pour soutenir les enfants dans leur scolarité[5]. C’est pour dire l’année 2020 laissera dans la mémoire de la plupart des élèves le souvenir indélébile d’une enfance et d’une scolaire bouleversées, elle aura marque aussi la vie des enseignants , contraints de s’adapter rapidement , de redoubler de créativité et d’assumer de nouvelles responsabilités[6]. Car, la pandémie a exacerbe la crise des apprentissages et ses conséquences sur le capital humain de toute une génération d’élèves risquent de perdurer. En avril 2020, 94% des élèves de la planète , soit 1,6 milliard d’enfants n’allaient plus en classe à la suite de la fermeture des écoles[7]. Les enfants sont particulièrement victimes de cette situation, car la pandémie aggrave les disparités existantes en matières de nutrition, de sante et de stimulation, et des services d’aide à la petite enfance sont trop souvent négligés dans la réponse à la crise sanitaire. Alors malgré la pandémie a considérablement perturbé notre quotidien et comme nous venons de le dire les enfants subissent de plein fouet ces changements. De ce fait, pour faire avancer les choses ils ont obligé a dispenses des cours en lignes, certaines écoles exigent le port des masques, le port des vêtements de protection, etc.  

Certainement, nous savons que ce modèle allait pose pas mal de problèmes surtout pour les pays dite du Sud. Puisque pour faire une éducation à distance cela demande un niveau infrastructure plutôt élevé. Spécialement l’électricité, le modèle d’aménagement des espaces scolaires et la connexion internet. Malgré tout certains pays surtout les pays dite du Nord arrive a fait fonctionner les écoles a distance puisqu’ils ont une préparation plutôt à décroitre et technologique. C’est-à-dire pendant la grande crise que le monde a connu durant le 21e siècle, l’éducation était aux cœurs des différentes discussions qui préoccupent les différentes organisations et les différents dirigeants du monde. Qu’en n’est-il pour Haïti pendant les deux dernières décennies ??

Le droit des enfants, La réalité éducation en Haïti

« Celui qui ouvre une porte d’école, ferme une prison » Victor Hugo !

 Chaque élève a droit aux apports de savoir et de réflexion qui l’aideront dans ce qui est la tâche de toute une vie : devenir celui que l’on choisit d’être. Refuser à certains, sous prétexte qu’ils sont catalogués « mauvais élèves » ou « faits pour le travail manuel », l’accès à un exercice intellectuel aussi fondamental que la philosophie, c’est accepter le découpage de l’humanité en catégories hiérarchisées, c’est-à-dire accepter la barbarie. Comment apprendre aux enfants haïtiens que :”Le droit à l’éducation est légalement garanti pour tous, sans aucune discrimination » ? Pourtant, quand ils voient la réalité scolaire des enfants dans des autres pays, celle-ci fonctionne plutôt bien. L’Etat voisin peut constituer sur ce point comme un fait probant.

Et, en plus dans les articles 28 et 29 de ladite convention, elle reconnaît l’éducation comme un droit à chaque enfant sur la base de l’égalité des chances. Son article 28 garantit la gratuité de l’enseignement primaire obligatoire pour tous, la gratuité progressive de l’enseignement secondaire qui devrait en tout état de cause être disponible et accessible à tous, et l’accessibilité à l’enseignement supérieur en fonction des capacités. Il énonce l’obligation de l’État de prendre des mesures concernant la fréquentation scolaire. Elle encourage la coopération internationale en matière d’éducation, en particulier l’élimination de l’analphabétisme et la favorisation de l’accès aux connaissances scientifiques et techniques. Son article 29 définit les objectifs de l’éducation et reconnaît également la liberté des parents de choisir le type d’éducation qu’ils veulent donner à leurs enfants et la liberté de créer et de diriger des établissements d’enseignement, conformément aux normes minimales fixées par l’État[8].

                 En outre, les États ont comme obligation de protéger, respecter et mettre en œuvre le droit à l’éducation. Demandez-vous à un enfant s’il veut envoyer un message avec un dirigeant pour le changement de la situation. L’enfant vous répond aux dirigeants ?  S’il en avait, mais malheureusement il n’y a personne pour nous écouter… on doit vous rappeler qu’Haïti est l’un des signataires de la Convention Internationale Relative aux Droits de Enfants (CICE). Dans les articles 33 à 35 on mentionne que les gouvernements doivent protéger les enfants de tous les maux possibles de la société… et, spécialement dans l’article 42, : « Les gouvernements doivent activement faire connaître cette convention aux enfants et aux adultes afin que tout le monde soit informé des droits des enfants ». Est-ce que c’est le cas en Haïti ???

Il est temps de nous unir contre tous les problèmes découlant des différentes sources, qu’elles soient politiques, économiques et aussi, lutter férocement contre tous les barbares voulant entraver à la bonne marche de l’école.

        Si vraiment nous voulons changer la situation du pays mesdames et messieurs il faut savoir que : « L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde » D’après Nelson Mandela

Les enfants et les jeunes savent pertinemment que leurs droits sont violés. Selon eux, ils sont bafoués malgré leurs usages devraient être une priorité de tous. Pourtant, de jour en jour la situation devient au point mort, c’est-à-dire elle est plus grave et très grave, qui fait qu’en octobre 2022 les enfants et les jeunes ne peuvent pas rentrer dans les salles de classe à cause des différents problèmes auxquels le pays fait face. Et, ils/elles ne savent même pas encore quand ils/elles retournent dans les salles de classe. Selon UNICEF dans un article publier 5 mai 2022, 500 000 enfants ont perdu l’accès a l’éducation en raisons de la violence liée aux gangs. Près de 1 700 écoles sont actuellement fermées dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Et, dans le même contexte selon l’Organisation pour les migrations (OIM) 9 000 personnes ont été déplacées de Croix-des-Bouquets, Tabarre, et de Cité Soleil toujours en raison de l’insécurité[9]. Considérant cette situation extrêmement difficile

 Nous pouvons confirmer que la situation socioéconomique à justifier le problème de la réouverture des classes. Mais est-ce qu’on devrait arriver là ?

PERSPECTIVES

Certainement il y a des points de vue différents sur la situation du pays actuelle. Nous trouverons certains personnes politicienne, journaliste, enseignante, avocat, économie, etc. qui disent c’est X ou Y qui sont responsable. Ils disent aussi que cela commence X ou Y avec tels régimes politique, quels gouvernements. Il y en a d’autres qui disent non nous sommes tous coupable de cette situation d’Haïti aujourd’hui et nous sommes en routes de disparitions cause nos comportements.

Nous voulons faire un appel à chacun de vous, c’est-à-dire a tous les citoyens que nous avons une histoire en commun, un bien en commun qui est Haïti. Malgré les différences qu’on pourrait avoir sur n’importe situation donnée, mais il faut se rappeler de nos biens qui est Haïti. Vous du Ministère de l’Education Nationale de la Formation Professionnelle (MENFP), les différents ministères du pays qui travaillent dans le domaine de sécurité, les personnels éducatifs, les différentes organisations nationales et internationales qui travaillent dans le domaine de l’éducation, dans le domaine des droits des enfants, les parents, unissons-nous d’une seule voix pour dire vivre une éducation à l’haïtienne, l’école doit placer au-dessus de la mêlée. C’est assez mesdames messieurs !!!

 L’école doit-être au-dessus de tous les problèmes. Comment les jeunes d’aujourd’hui seront-ils les responsables de demain ? Quels/quelles adultes pour une Haïti 2050 ? Les enfants qui ont subi toutes sortes de maltraitance ? Les jeunes dont les droits sont bafoués ?

-Il faut avoir une implication de tous les acteurs dans les différents secteurs du pays, spécialement en sécurité, l’acticité, en communication c’est la gestion des réseaux d’internet ;

-Il faut avoir des personnels éducatifs qualifier et compétents, c’est-à-dire avoir des programmes de formations continue des enseignants et des directeurs d’établissements.  Spécialement dans les MTICS pour pouvoir dispenser des cours a distance et des formations strictement adaptées à la réalité haïtienne ;

-Renforcer la plateforme des cours en ligne du ministère de l’éducation nationale (MENFP), exemple la plateforme PRATIC ;

– Revaloriser du statut d’enseignant par l’amélioration des conditions de travail et des salaires notamment ;

-Des cantines scolaires pour les élèves, notamment dans les milieux défavorisés ;

-Il faut avoir une prise de conscience que l’école est un bien de tout le monde…

Que les droits des enfants doivent être respectés en toutes les rigueurs !!!

Mackenson MAULINE, Normalien Supérieure, Journaliste, Historien en formation mackensonmauline@gmail.com (+509) 48 36 5904 / 32 32 5741


[1] Héritage et transmission dans la sociologie de Pierre Bourdieu. Selon Anne Jourdain, Sidonie Naulin, dans les idées économiques et sociales. 2011/04(no 166), pages 6 à 14.

[2] Matthieu, Devigne, L’ECOLE DES ANNEES NOIRES, Une histoire du primaire en temps de guerre.

[3] L’Ecole dans la seconde guerre mondiale (1939-1945), Yves Verneuil, dans Histoire de l’enseignement en France (2020), pages 205 à 215.

[4] Organisation Mondiale de la Santé (OMS), sur le site who.int

[5] Le cas de Sutil qui vivait à la province de Kalimantan occidental, en Indonésie. Sur le de banquemondiale.org

[6] Https://www.banquemondiale.org/fr/news/immersive-story/2021/01/22/urgent-effective-action-required-to-quell-the-impact-of-civid19-on-education-worldwide?cid=SHR_SiteTweetable_XX-EXT

Via@Banquemondiale

[7] ibid

[8] Convention Internationle Relative aux Droits de l’Enfant (CICE), unicef.org.

[9] Haïti : La violence des gangs pousse un demi-million d’enfants hors de l’école à Port-au-Prince, 05 mai 2022, sur le site de unicef.org


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