Chauffeurs et passagers n’arrivent pas à s’entendre sur les prix des transports en commun

Le carburant est disponible dans les pompes à essence, notamment celles de la capital. Les opérations de vente retournent à la normale. Les institutions publiques et privées reprennent du service, mais des établissements scolaires de Port-au-Prince gardent encore leurs portes fermées.

Les prix des produits pétroliers sont affichés dans les stations-service tels que ajustés au mois de septembre. La gazoline est passée à 570 gourdes, le diesel à 670 gourdes et le kérosène à 665 gourdes.

L’ajustement est respecté, tandis que les prix des courses restent inchangés, ce qui provoque des scènes d’altercation entre chauffeurs et passagers. Le Ministère du Commerce et de l’Industrie tarde encore à statuer sur les prix des différents circuits.

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Avec ce retour au calme et la distribution du carburant, les chauffeurs du transport en commun fixent délibérément les prix du circuit, ainsi banalisent-ils le pouvoir des autorités.